En mars 1979, l’ARCC Gaspésie voyait le jour pour servir les membres de la FQCC habitant la région du même nom. Puis, notre organisme est officiellement devenu l’ARCC Gaspésie/Les Îles en janvier 2001, lorsqu’il a accueilli dans ses rangs l’ACIM, la seule association regroupant des campeurs des Îles-de-la-Madeleine. Notre ARCC compte plusieurs familles, dont la majeure partie est disséminée sur la péninsule gaspésienne et l’archipel, quoique certains membres résident au Nouveau-Brunswick et en Nouvelle-Écosse. Notre conseil d’administration a remporté le prix Marc-Boivin en 2008 pour avoir organisé une activité sociale marquante.
Contactez-nous : arcc04@fqcc.ca
Martin Leblanc
Président | New Richmond
Pour connaitre nos attraits touristiques
Nos parcs et réserves
- Parc national de la Gaspésie, Sainte-Anne-des-Monts
- Parc national de l’Île-Bonaventure-et-du-Rocher-Percé, Percé
- Parc national de Miguasha et son musée d’histoire naturelle, Nouvelle
- Parc national Forillon, Gaspé
- Réserve écologique de l’Île-Brion, Îles de la Madeleine
- Réserve faunique de Port-Daniel
- Réserve faunique des Chics-Chocs, Mont-Saint-Pierre
- Réserve nationale de faune de la pointe de l’Est, Grosse-Île, Île de la Madeleine
Georges Cyr
Vice-président
Caplan
Francis Gauvin
Administrateur
New Richmond
Sylvie Savoie
Administratrice
New Richmond
Vital Cyr
Administrateur
New Richmond
Jean Bourdages
Administrateur
Caplan
Denise Poirier
Secrétaire
Caplan
Ce véritable Far West québécois regroupe deux régions distinctes : l’Abitibi, au relief de plateaux typiques du Bouclier canadien, et le Témiscamingue, dont les terres vallonnées et fertiles rappellent sa voisine du sud, l’Outaouais. Le nom « Abitibi », d’origine algonquine, veut dire « là où les eaux se séparent » et réfère à la ligne de partage des eaux entre le bassin hydrographique de la baie James et celui du Saint-Laurent. Deux de nos plus importantes rivières coulent donc en direction opposée : la rivière Kinojévis, un affluent de la rivière des Outaouais, et la rivière Harricana, qui se jette dans la baie James. Ces terres d’immensité comptent 100 000 plans d’eau et des centaines de milliers de kilomètres carrés de forêts, dont plusieurs sont protégés, à l’intérieur du parc national d’Aiguebelle et de la réserve faunique La Vérendrye.
Habitée depuis 8 000 ans par les Amérindiens, dont les Algonquiens depuis au moins 8 siècles, l’Abitibi-Témiscamingue a été visitée par Radisson en 1670 pour être ensuite sillonnée par les chasseurs, coureurs des bois et voyageurs faisant la traite des fourrures. Ceux-ci avaient pour point de rendez-vous principal le fort Témiscamingue, établi sur le lac du même nom.
À la fin du 19e siècle et au début du 20e, l’agriculture et la foresterie prennent de l’importance dans l’économie locale avec l’établissement de nombreux colons. La population augmente encore pendant la Grande Dépression, alors que les gouvernements incitent leurs citoyens à quitter les villes pour aller cultiver la terre ou exploiter les prometteuses mines d’or récemment découvertes. Aujourd’hui encore, nos principales activités économiques restent l’agriculture, la foresterie et l’exploitation minière.
Le pays de Raoul Duguay et Richard Desjardins constitue un paradis pour les chasseurs, pêcheurs et autres amateurs de plein air, avec ses milliers de lacs et de rivières. Plusieurs musées et centres d’interprétation déclinent les thèmes historique, amérindien et minier. Les terrains de camping de l’Abitibi-Témiscamingue attendent les pionniers dans l’âme pour leur offrir un contact privilégié avec la grande nature. Dépaysement assuré !