6 novembre 2018
12 films pour les amateurs de camping
(2018-11-06) Ce n’est pas parce que l’automne est bien installé que l’on cesse de penser au camping. Puisqu’il est encore tôt pour débuter la planification de vos sorties du printemps, voici la liste des 12 films pour patienter un peu.
Camping Sauvage (2004)
Mettant en vedette Sylvie Moreau et Guy A. Lepage, cette comédie raconte l’histoire d’un courtier qui se voit forcer de se cacher sur un terrain de camping pour échapper à des criminels. Le critique n’a pas été tendre avec ce long métrage, mais le public, lui, a répondu à l’appel.
Beethoven 3 (2000)
Troisième volet de cette série de films bien connue des enfants qui ont grandi dans les années ’90. Cette fois, le célèbre Saint-Bernard accompagne en camping des membres de la famille de ses propriétaires. Évidemment, le spectateur assiste à une succession de situations désopilantes.
Vers l’inconnu (Into the wild, 2007)
Un étudiant promis à un brillant avenir décide de rompre avec la société et de prendre la route à destination de l’Alaska. S’adaptant à son milieu et à la solitude, il découvre la nature, la liberté et le bonheur… avant d’être rattrapé par la réalité. Une touchante ode à la simplicité de la vie, inspirée d’une histoire vraie.
Camping (2018)
Pas un film, mais bien une toute nouvelle série présentée sur HBO. Pour le 45e anniversaire de son mari, une femme narcissique et contrôlante organise une sortie en camping en compagnie de membres de la famille et d’amis. Les malaises sont ici à l’honneur.
Camping-Car (RV, 2006)
Une famille dysfonctionnelle se rend au Colorado en VR et fait la rencontre d’étranges et amusants campeurs. Une comédie avec le regretté Robin Williams.
La Vraie Vie (1971)
Un court métrage documentaire de l’ONF qui offre un aperçu de la vie sur les terrains de camping au début des années ’70. Pour voir ce qui a changé… ou pas. Ce film est disponible en ligne gratuitement.
La Folle histoire de l’espace (Spaceballs, 1987)
On vous l’accorde, Spaceballs n’a pas beaucoup à voir avec le camping. Il s’agit plutôt d’un film comique de science-fiction qui parodie les autres films du genre, notamment Star Wars. Toutefois, c’est probablement le seul film où un VR se promène dans l’espace. À voir pour rire un bon coup.
L’Échapée belle (The Leisure Seeker, 2017)
Cette comédie romantique et dramatique met en vedette Donald Sutherland et Helen Mirren dans le rôle d’un couple de personnes âgées qui prennent la route vers Key West pour oublier la maladie qui se pointe. Ils découvrent une Amérique qu’ils ne reconnaissent plus, tout en se remémorant des souvenirs.
Tranquille est le fleuve (The Great Outdoors, 1988)
Scénarisé par John Hugues (The Breakfast Club, Uncle Buck) et mettant en vedette John Candy et Dan Aykroyd, deux habitués des comédies des années ’80, Tranquille est le fleuve raconte l’histoire d’un couple qui se rend en vacances dans un chalet du Wisconsin. Arrive ensuite un ami qui viendra gâcher leur bonheur.
La Florida (1993)
Même s’il ne tourne pas autour du camping, impossible de passer sous silence ce film québécois qui a connu un grand succès. Comme l’action se déroule dans un motel de Floride qui vient d’être acheté par une famille québécoise, les snowbirds ne manqueront pas de rire aux éclats devant ces blagues livrées par une distribution toute étoile qui comprend, entre autres, Rémy Girard, Paulette Lapointe, Guillaume Lemay-Thivierge, Marie-Josée Croze et Denis Bouchard.
Le projet Blair Witch (Blair Witch Project, 1999)
Des étudiants en cinéma se rendent en camping dans un bois supposément hanté pour tourner un documentaire sur la sorcière de Blair. Malheureusement pour eux, ce fut une mauvaise idée. Produit avec très peu de moyens, ce film a littéralement réinventé le film d’horreur en mettant l’accent sur la tension psychologique plutôt que sur les effets spéciaux ou sur des images troublantes.
Compte sur moi (Stand by Me, 1986)
En 1959, après avoir entendu qu’un cadavre d’enfant se trouvait dans un endroit relativement éloigné de leur maison, quatre garçons d’une douzaine d’années partent en camping à sa recherche. Bien que cette prémisse laisse croire qu’il s’agisse d’un film d’horreur, d’autant plus qu’il est adapté d’une nouvelle du maitre de l’horreur lui-même, Stephen King, les véritables sujets de l’histoire sont plutôt l’amitié, la nostalgie et la perte de l’innocence. Une expérience de camping qui marquera les quatre protagonistes à jamais.